EXPOSITION A VENIR–> GABRIELLE HAARDT
Exposition Gabrielle HAARDT (1917 – 2004)
Sculptures & Bijoux
Du 23 octobre au 5 novembre
71, boulevard Raspail 75006 Paris
La presse en parle
Connaissance des Arts,
Septembre 2019
BIENNALE PARIS
Summer > BIENNALE DE PARIS
Gabrielle HAARDT Bijoux & sculptures
HORS LES MURS
« Gabrielle HAARDT, bijoux & sculptures »
en partenariat avec Pierre Bergé & Associés Bruxelles
à l’occasion de la parution de la monographie de l’artiste aux Éditions du Canoë
du 18 au 23 juin 2019
Pierre Bergé & Associés Bruxelles
Avenue du Général de Gaulle, 47
1050 Bruxelles
PAD Art + Design
Thank you for visiting us at PAD Paris 2019 edition!
Photo: Francis Amiand
Shooting Mériguet-Carrère
Hors les Murs:
La Galerie Martel – Greiner et Mériguet-Carrère s’associent le temps d’un shooting!
– Paire de tabourets de Milo BAUGHMAN, 70’s, acier et poulain
– Sculpture murale de Curtis JERE, 70’s
PAD PARIS
PAD PARIS, stand 37
3 – 7 avril
Jardin des Tuileries
Cette année, le cinétisme est à l’honneur sur notre stand en écho à l’hommage rendu par le Centre Pompidou à Vasarely. Nous présentons une paire de vitrines modèle Vasarely en laque de Emiel Veranneman réalisées lors de l’exposition que ce galeriste designer avait rendu à l’artiste dans les années 70, des sculptures de Monique Rozanes, l’art textile de Martha Le Parc, une console du sculpteur Federico Brook et un tableau haut en couleurs du maître lui-même…
BRAFA édition 2019
BRAFA 2019 – Hommage à ALBERTO GUZMAN
La Galerie Martel – Greiner rend hommage au grand sculpteur péruvien ALBERTO GUZMAN ce mois de janvier à la BRAFA, stand 138A.
Né en 1927, ce diplômé de l’école des beaux-arts de Lima, découvre la France en 1959, à la suite d’une bourse offerte par le ministre de la Culture André Malraux. Deux ans plus tard, il présente ses premières créations en fils de fer soudés au musée d’Art moderne de la Ville de Paris dans le cadre de l’exposition « L’art latino-américain de Paris », puis au salon de la Jeune Sculpture. Guzmán met en œuvre un langage universel dans lequel deux demi-sphères maintenues à distance par des fils métalliques en tension traduisent l’impossibilité pour l’être humain de parvenir à l’unité essentielle.
Dans les années 70, il opte pour le marbre, qu’il choisit pour sa luminosité. Les créations sont monumentales mais tout autant épurées. L’artiste se fait athlète et engage un combat au corps à corps avec la matière. Tel un tour de force, la pierre est sublimée jusqu’à son essence, étirée pour devenir transparente, suspendue comme en lévitation.
Cet hommage consacré à Alberto Guzman vient prolonger l’heureuse tradition de la sculpture avec un artiste qui a su développer son oeuvre en dehors de toute allégeance aux courants artistiques du XXème siècle.