Table basse « Chimère de nuit » de Victor Roman – 1973
Victor ROMAN (1937 – 1995)
Table basse Chimère de nuit
1973
Piètement sculpté en bronze poli doré
Plateau en verre
Signé « Roman » et numéroté (8 exemplaires et 4 épreuves d’artiste)
34 x 140 x 80 cm
1954 Il entre à l’Institut d’arts plastiques Nicolae Grigorescu de Bucarest où ses professeurs sont Constantin Baraschi, ancien élève d’Antoine Bourdelle à Paris8, et Ion Lucian Murnu.
1950 Il obtient son diplôme des Beaux-Arts.
1962 Première exposition personnelle à Bucarest.
1965 Premier voyage à l’Ouest.
1967 Victor Roman quitte la Roumanie grâce à une bourse du British Council qui lui permet de passer un semestre au Royal College of Art de Londres où il rencontre Henry Moore, Lynn Chadwick et Kenneth Armitage.
1968 Il s’installe en France au Hameau des artistes de la Fondation nationale des arts graphiques et plastiques à Nogent-sur-Marne.
1973 Il épouse l’artiste peintre Dana Constantinescu (connue aujourd’hui sous le nom de Dana Roman).
1974 Prix du concours pour la réalisation d’une œuvre d’art pour l’Hôtel de ville de Bobigny.
1977 Réalisation dans le Parc des Sources de la Bièvre à Guyancourt de L’oiseau.
1980 Voyages en Grèce, Italie, Allemagne.
1986 Premier voyage aux États-Unis (où il retournera en 1990).
1988 Voyage en Égypte.
1994 Voyages en Argentine et en Hongrie.
Oeuvres dans les musées et collections publiques:
Fonds national d’art contemporain, Paris.
Mac/Val (Musée d’art contemporain du Val-de-Marne), Vitry-sur-Seine.
Musée de la ville de Saint-Quentin-en-Yvelines.
Allée des Arts, Le Barcarès.
Musée de Siegen (Allemagne).
Musée d’art de Legnano (Italie).
Musée national d’art de Roumanie, Bucarest.
Musée d’art, Craiova.
U.C.L.A, Los Angeles
« Le territoire urbain de la région parisienne constitue le véritable musée public de Victor Roman. Ses œuvres y sont disséminées aux quatre coins névralgiques du grand Paris. La ville de Bobigny peut s’enorgueillir d’abriter devant son Hôtel de Ville « La victoire » de 19784, et au carrefour Normandie- Niémen le « Signal » de bronze de 9m de haut (1989). » Pierre Restany